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france inter - Page 2

  • Racisme anti-Blanc sur France Inter

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

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    Essayez de dire ça : «  L'homme noir ne peut pas, dans sa chair, dans son âme, incarner l'antiracisme. Non. Il ne peut pas être antiraciste. Jamais il n'aura raison contre une femme blanche ou asiatique. Il va bien falloir que l'Afrique le comprenne un jour ». Bien sûr que vous ne le direz pas. Et à supposez que vous le fassiez, les micros, dégoûtés, se détourneraient de vous.

    Et maintenant, écoutez ça. « L'homme blanc ne peut pas, dans sa chair, dans son âme. incarner l'antiracisme. Non. Il ne peut pas être antiraciste. Jamais il n'aura raison contre une femme noire ou arabe. Il va bien falloir que la France le comprenne un jour. » C'était dans l'émission de Lauren Bastide sur France Inter, une radio qui vit de notre redevance audiovisuelle. Il est bien normal de payer pour être insulté, non ?

    La personne qui a tenu, en toute liberté ces propos abjects, s'appelle Maboula Soumaharo. Pour éviter tout jeu de mot facile sur « Maboula, le féminin de maboule ? », précisons qu'elle est parfaitement saine d'esprit. La haine, en effet, n'est pas considérée comme une pathologie psychiatrique.

    France Inter la présente comme étant « angliciste » et « civilisationniste ». Et précise qu'elle est maître (la radio dit « maîtresse ») de conférence à l'université de Tours. Pas un mot, en revanche, sur le fait qu'elle est proche des Indigènes de la République, une association qui vomit les « souchiens ». Pas un mot non plus sur le fait que Maboula Soumaharo co-organise des camps « dé-coloniaux » interdits aux Blancs.

    Normal que France Inter ne le dise pas : on ne va quand même pas expliquer aux auditeurs à qui ils ont à faire. N'en déduisons pas pour autant que Maboula Soumaharo déteste tous les Blancs : elle en aime certains. Par exemple, Lauren Bastide, qui l'a reçue. Sa sympathie pour elle est si grande qu'elle n'a pas exigé être interviewé par un journaliste noir. Et si vous voulez savoir pourquoi la journaliste n'a pas réagi aux propos écœurants de Maboula Soumaharo, voici la réponse : c'est qu'un Blanc, ou une Blanche, ne peut pas avoir raison contre une femme noire...

    Source : site Atlantico via synthesenationale

  • Quand les bouffons de France Inter prennent le train…

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2019

    Rédigé par notre équipe le 15 juin 2019.

    La station de radio France Inter est insupportable à bien des égards. Les intervenants se couvrent du drap journalistique pour asséner leur propagande et affubler de tous les noms ceux qui ne pensent pas comme eux. Ne pas s’extasier sur la PMA et la GPA, ne pas déclarer son amour aux vagues migratoires, ne pas se dire à gauche quand on a été escroqué depuis quatre décennies, vous envoie directement dans la case fasciste. Un classement réalisé d’une main de maître par la bande de l’émission « Par Jupiter ». De tristes clowns avinés qui ne font rire pas grand monde.

    Jeudi soir, les voyageurs présents dans le train Annecy-Paris ont eu la malchance de tomber sur l’équipe emmenée par Charline Vanhoenacker, une pseudo journaliste qui prétend aussi être humoriste. L’auditeur tombe des nues, car lorsque Vanhoenacker fait de l’humour, la réaction d’un être normalement constitué se rapproche de celle de François Fillon, un soir de mars 2017. Le niveau est dramatique, mais ce qui importe sur France Inter, ce n’est pas le talent ni le professionnalisme, mais bien le message gauchiste qui doit être passé à tout prix.

    Les pochtrons de France Inter en tournée !

    Ainsi, France Inter est perpétuellement dans le mélange des genres. Aux côtés de journalistes que les auditeurs doivent impérativement considérer comme sérieux et neutres… ils ont droit à la dose de (bonne) humeur avec des billets humoristiques incroyables de bêtise. On pourrait se dire que c’est par manque de temps que des textes aussi mauvais sont rédigés (et joués), mais non. Les week-ends, les vacances, rien n’y fait. Tout est mauvais du lundi au vendredi, de septembre à juin. Mais quand ces voix nasillardes qui crient au nazisme toutes les deux minutes sortent de la radio pour devenir une réalité tangible, ce sont les pauvres gusses coincés dans le TGV qui mangent leurs chapeaux.

    La scène se passe donc jeudi soir. La bande de « Jupiter » revient d’Annecy où France Inter a eu l’idée géniale de délocaliser la station quelques heures durant. Il faut faire croire au peuple qu’on s’intéresse à lui alors on extirpe la bande de la Maison de la radio pour la mettre en face de ceux censés se marrer derrière leur poste de radio chaque jour. Une sortie éprouvante pour tout le monde, car bien souvent les seuls ricanements qui viennent ponctuer une chronique, répétons-le humoriste, sont ceux du petit voisin qui a déjà terminé la sienne en se disant que ce métier est décidément une planque parfaite.

    Mais faut-il vraiment faire sortir ces olibrius de la Maison de la radio autrement qu’à coups de pied dans le derrière ? Venus à Annecy, ils sont vite repartis le jeudi soir après leur heure de travail journalière. Et quoi de mieux pour tuer le temps que de boire comme des trous et raconter leur vie en gueulant et au mépris du respect des autres passagers ? Rien de bien différent de ce qu’ils font à l’antenne, la retenue en moins.

    Un passager agacé à eu l’idée de rapporter quelques propos et attitudes de la part d’une équipe bas de plafond. « Ce soir je me retrouve dans le TGV à côté d’un petit groupe de personnes comprenant plusieurs chroniqueurs de France Inter (dont Charline Vanhoenacker et Guillaume Meurice). Certains s’enivrent, ils brayent, ils rient fort, ils renâclent (c’est surtout Vanhoenacker qui renâcle comme un petit cochon). L’un d’entre eux renverse sa bouteille (75cl) de vin sur les fauteuils ce qui rend la petite bande hilare. Ils n’essayent même pas de nettoyer. En voyant un hôtel en contrebas la chroniqueuse Juliette Arnaud, visiblement pas en état de sobriété, crie qu’elle « a déjà baisé là ».

    La suite est tout aussi consternante et montre bien que les bouffons du service public sont de tristes sirs qui s’amusent de leur bêtise crasse en forçant les autres passagers à subir le tout. Au moins avec la radio, on peut éteindre. Là, il faut subir ou alors demander à ses oiseaux de se calmer au risque de se faire traiter de Kapo ou pire encore. L’histoire ne dit pas si quelqu’un aura osé les remettre à leur place. Tancés ou non, ils auront dégueulassé au propre comme au figuré un voyage en train et montré que l’hystérie de la bouffonnerie publique est encore plus pénible avec de l’alcool dans le sang. A quand des médias publics qui informent et ne payent pas grassement de tels énergumènes ?

     

    Source : 24heuresactu